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Amstrad PC 1512 : Disque Dur à La LoupeHardware Les Pc D'amstrad

Depuis le 2 septembre 1986, Amstrad attaque violemment le marché des compatibles avec son PC 1512. Les configurations équipées d'un disque dur n'apparaissent qu'en mai de cette année chez les revendeurs. Simultanément, l'imprimante DMP 4 000 sort des limbes prototypesques pour conquérir le cœur des fans d'Alan Sugar, PDG d'Amstrad. Compatibles PC Magazine passe à la loupe le PC 1512 HD 20.

C'est la version 20 Méga octets du disque, accompagnée de la sus-dite imprimante.

Le PC 15132 a subi nombre d'attaques et de critiques lors de sa sortie à la fin de l'année dernière. La machine, alors confiée aux organes de presse, tenait plus du prototype que de la grande série.
Depuis, Amstrad a corrigé les principaux défauts de son ordinateur pour en faire un compatible comparable à ses concurrents.

Aujourd'hui, avec les PC HD 10 et HD 20, le constructeur prétend partir à la conquête du marché des petites et moyennes entreprises. Reste à déterminer dans quelle mesure les configurations offertes par Amstrad correspondent vraiment à l'attente des entrepreneurs et des artisans. Une certitude s'impose, préalablement à toute critique : le retard pris dans la commercialisation des PC avec disque a donné le temps aux techniciens e peaufiner leur micro.

Parlons peu, parlons hard

L'aspect extérieur du PC 1512 n'est guère modifié par l'installation d'une mémoire de masse fixe dans ses entrailles. La façade de l'unité centrale se partage également en deux parties : la gauche pour le disque dur et la droite pour l'unité de disquette. Le boîtier se remarque toujours pour sa compacité. Du fait de cet encombrement réduit, l'utilisateur ne pourra pas intégrer l'unité de sauvegarde sur cartouche dans l'unité centrale. Il y a cependant plus de fentes d'aération pour éviter les surchauffes.

A l'arrière de l'unité centrale, on découvre les deux ports, l'un série l'autre parallèle. Sur le côté gauche, deux connecteurs s'installent sans vergogne : le premier pour le clavier, le deuxième pour la souris. Curieuse idée que de connecter une souris sur la gauche de l'ordinateur avec une majorité d'utilisateurs droitiers. Sauvés ! Le fil de la souris, par sa longueur respectable, la laisse s'installer de part et d'autre du clavier au choix de son maître. Le connecteur du clavier n'est pas standard et ne permettra pas d'y fixer un clavier 102 touches type AT 3.

Le capot, placé derrière le moniteur, se soulève pour révéler les trois connecteurs d'extension offerts par le constructeur. Celui du centre est prévu pour accueillir une carte longue, telle la Hardcard. L'un des deux autres est occupé par le contrôleur du disque dur, le troisième s'offre à toute proposition. Seul, le guide-carte central s'enlève pour introduire une carte longue. L'utilisateur exigeant des cartes de ce type devra s'attaquer au plastique avec un ciseau à froid pour réussir son installation.

Le dos de l'unité centrale révèle ses deux connecteurs — l'un parallèle, l'autre série —, la sortie vidéo,
et l'entrée de l'alimentation provenant du moniteur fournissant les diverses tensions nécessaires au système. >>

Pour en terminer avec le boîter, soulevons le moniteur. Sous une trappe se dissimulent les quatre piles de 1,5 volts se chargeant de la sauvegarde de l'horloge et de quelques autres informations.

Pour les versions HD du PC 1512, le clavier n'a subi qu'une modification mineure. Le port hébergeant le joystick se trouve sur la tranche arrière de celui-ci. Entièrement démontable en un clin d'œil, les maniaques se complairont dans un nettoyage complet régulier.

<< Le disque dur cohabite avec l'unité de disquette, dissimulant le ventilateur. Les deux nappes de fils le connectent au contrôleur.

La disposition des quatre-vingt-six touches reste identique à l'ancienne : dix touches de fonction en deux colonnes de cinq à gauche, un clavier AZERTY complet — avec deux touches DELETE et les touches CTRL et ALT côte à côte — et un pavé numérique sur la droite.

Le moniteur contient toujours l'alimentation de 65 Watts. A ('arrière se trouve l'interrupteur général de la configuration. Sur le flanc droit, deux potentiomètres assurent les réglages en luminosité et contraste. Malheureusement, aucun moyen simple d'accéderer réglage des couleurs. Comme précédemment, les rouges s'approchent plus du bordeaux que du vermillon. Impossible de reconnaître un logiciel sur ce moniteur à ses seules nuances !

Une horloge « speedy »

La carte-mère ne réserve aucune surprise aux connaisseurs des PC 1512 SD ou DD. Pour les autres, rassurez-vous immédiatement: les deux slots libres suffisent amplement aux utilisations courantes de la micro-informatique. En effet, les ingénieurs d'Amstrad ont préféré intégrer un grand nombre d'options à même la carte-mère.

Le processeur, 8086 d'Intel, travaille sur des mots de deux octets, et les transmet sur un bus de seize fils. Il s'agit d'un processeur 16 bits contrairement au 8088 standard d'IBM, qui a une architecture interne de 16 bits mais un bus de données de 8 bits. De ce fait, le traitement des informations se passe nettement plus rapidement. Pour améliorer encore ces capacités, l'horloge interne suit une cadence de 8 MHz, au lieu des 4,77 MHz habituels sur les PC.

Ces deux modifications au standard Big Blue apportent une rapidité d'au moins 80% supérieure à celle d'un compatible équipé d'un 8088 à 4,77 MHz. Un avantage indéniable qui séduira les inconditionnels de la vitesse et les afficionados des longs calculs.

Les 512 Ko de mémoire peuvent être complétés par quelques puces de 64 Ko pour porter sa taille à 640 Ko, maximum gérable par le MS-DOS 3.2 sur les supports restés vides. Des ports série, parallèle, joystick et souris, une horloge alimentée : la carte multifonction tant vantée par les fabricants taïwanais s'intégre à la carte-mère en douceur.

Autre particularité du PC 1512, un circuit vidéo se charge de l'émulation du standard CGA (encore une carte d'économisée),en l'améliorant au passage. Ainsi, quel que soit le moniteur — couleur ou monochrome —, 16 nuances distinctes apparaissent à l'écran en simultané... mieux que les huit couleurs habituelles aux premières cartes CGA installées dans les compatibles.

Une alimentation nn peu « short »

Le disque dur sort des ateliers de Tandon, numéro un mondial des mémoires de masse. Placé au-dessus de la carte-mère, il doit être déposé pour installer les chips de mémoire supplémentaire. Curieusement glissé entre le disque et la carte, un ventilateur extrêmement silencieux vient assurer la ventilation de ce premier.
Son emplacement correspond-il moins à un choix délibéré qu'à un bricolage légèrement hâtif?

Au royaume du plastique, le PC 1512 se sent chez lui. Toutes les vis, tant celles qui ferment le boîtier que celles fixant les cartes, sont taraudées directement dans le plastique. Le plus grand soin présidera donc à l'installation des cartes, si l'on souhaite pouvoir renouveler l'opération régulièrement.

L'alimentation de 65 Watts, disions-nous, s'en sort honorablement sans aucune carte supplémentaire. Prendre quelques précautions avant d'acheter une carte d'extension gourmande en puissance.


Les quatre-vingt cinq touches du clavier se répartissent selon un agencement propre à Amstrad. Affaire de goût...


Le clavier IBM : le modèle dont Amstrad s'inspire par trop librement.

Double motorisation

Les caractéristiques techniques n'ont jamais suffi pour faire d'un ordinateur un bon ordinateur. Un moteur, indispensable, doit s'installer dans la mémoire du micro pour assurer son fonctionnement, sous la forme d'un système d'exploitation (SED en français ou DOS en anglais). Dans le cas du PC HD 20, la surprise vient en grande partie de ce côté-là : le micro dispose de deux moyens de propulsion, au choix de l'utilisateur. Entre MS-Dos de Microsoft et Dos Plus de Digital Research, que choisir? Historiquement, la volonté d'Amstrad d'installer les deux Dos sur le disque dur peut s'exprimer assez simplement : Dos Plus intègre des fonctionnalités supplémentaires par rapport à MS-Dos. En particulier, Dos Plus offre la récupération des fichiers écrits sous CP/M 86 (un autre système d'exploitation créé par Digital Research). Or Alan Sugar a toujours éprouvé un amour immodéré pour CP/M. Il faut remarquer, à sa décharge, qu'avant MS-Dos, CP/M 86 constituait le standard mondial des Dos.

Difficile en effet de renoncer définitivement aux milliers de programmes disponibles dans la logithèque CP/M. Impossible de se priver des utilisateurs travaillant sur de vieux micros sous CP/M. Comment ne pas tenter de récupérer ces acheteurs potentiels en leur proposant de transférer leurs fichiers CP/M sur un compatible PC, surtout lorsqu'on se nomme Amstrad. En revanche, MS-Dos ouvre la porte à l'ensemble de la logithèque PC. Impossible de concevoir un compatible n'y accédant pas. Du coup, lors de la mise en route du système, le PC 1512 donne à choisir entre les deux systèmes d'exploitation, tous deux implantés sur le disque dur, mais dans deux répertoires distincts.

Un GEM automatique et plutôt « cool »

Pour tenir compagnie à ces deux Dos, Amstrad a pourvu le disque dur de deux autres programmes : Gem, encore de Digital Research, et Basic 2 de Locomotive Software. Gem forme une interface utilisateur destinée à remplacer les commandes clavier par des commandes souris. La présentation de l'écran se passe sous forme graphique, joignant icônes et menus déroulants pour un plus grand confort de l'utilisateur.

Si Gem charge automatiquement dès lors que le choix s'est porté sur Dos Plus, l'utilisateur peut tout aussi bien l'utiliser à partir de Ms-Dos. La souris est assimilée à une fabrication Microsoft par ce dernier. Pour ceux qui connaissent les Atari ST ou les Macintosh, l'utilisation de Gem paraîtra complètement naturelle. Ils regretteront seulement la lenteur épouvantable du logiciel : les chargements, même à partir du disque dur, nécessitent de longues secondes. Quel dommage !

Un gag à propos de Gem et de sa souris : lors des accès au disque, rien de vous empêche de remuer votre bestiole comme un damné. Ne soyez pas surpris de voir, à la fin des opérations de chargement ou de sauvegarde, l'ensemble des mouvements s'accomplir à l'écran : l'Amstrad mémorise les mouvements de la souris et les affiche dès qu'il le peut.

Dernier logiciel fourni en prime avec l'ordinateur, le Basic 2 qui fonctionne sous Gem. Inutile de vous paniquer avant l'heure: ce Basic n'exige rien de particulier du système d'exploitation, il travaille aussi bien avec MS-Dos qu'avec Dos Plus, mais de toute façon sous Gem. Grâce à la présence de Gem, ce Basic s'offre le luxe du multifenêtrage : dialogue, résultats, édition... Agréable d'emploi, il ne souffre que d'un défaut : Amstrad, généreux en manuels divers, n'a pas cru bon de joindre le manuel du Basic 2 à la configuration. Ils vous en coûtera moins de 150 francs dans toute bonne librairie.

Une bonne note en compatibilité logicielle

N'hésitant devant rien, nous avons testés quelques-uns des logiciels les plus répandus du marché pour vérifier la tenue du HD 20. Contrairement à toute attente, les problèmes rencontrés tiennent largement plus du détail que de l'incompatibilité. Ainsi avec Multiplan, tout se déroule sans la moindre anicroche. La souris, qui peut s'utiliser avec le «driver» mouse.com remplace sans difficulté les commandes du clavier. L'ensemble des commandes fonctionne allègrement. Seule ombre au tableau : dans les options de fenêtrage, la première option (Partage) subit les avatars d un léger bug : le P est transformé en un signe cabalistique inconnu. Malgré cette apparence surprenante, la commande tourne sur une simple injonction. Enfin, l'imprimante DMP 4000 reçoit sans sourciller les 136 colonnes en caractères compressés (sur papier 80 colonnes) envoyées par le logiciel.

Le gestionnaire de fichiers dBase II n'a rencontré aucune difficulté pour s'adapter à l'environnement du PC 1512. L'ensemble des caractères gérés par le langage de programmation et les présentations peaufinées passent indistinctement à l'écran ou sur papier.

De même, l'intégré Framework Premier : impeccable dans sa présentation, pas une fonction n'a refusé de s'exécuter au doigt et à l'œil. Mais Framework Premier, tout comme des résidents comme SideKick, ne ressemble guère à l'image que l'on en garde sur d'autres écrans : le moniteur couleur d'Amstrad déforme à l'excès les rouges et les bleus, transformant radicalement le look de ces logiciels. La trilogie des utilitaires de Micro Application — Textomat, Datamat et Calcomat — profite pleinement de l'intégration de la souris dans cette configuration PC. Une chance me direz-vous : cet éditeur fournit directement Amstrad en Guide de Référence Technique, gracieusement offert par le constructeur avec le PC 1512. Là encore, on ne peut plaider qu'en faveur de la bonne conduite du compatible anglais.

Tout d'un coup d'un seul

Indéniablement, le PC 1512 HD 20 est compatible. Compact, son faible encombrement réjouit les amateurs de grands espaces sur de petites surfaces. Peu coûteux, il attire une clientèle rebutée par les matériels professionnels aux prix exorbitants.

Doté d'une documentation en français épaisse et complète, le PC HD 20 ne demande aucune qualification particulière pour la mise en route et l'emploi. Le disque dur contiendra

tout : applications et données. Inutile de se lancer dans de longues opérations de préparation avant de débuter les applications.

Le manuel se consacre entièrement à la pratique des commandes sur le disque. Il expose simplement les méthodes pour supprimer l'un des deux systèmes d'exploitation ou en rétablir un. Même si, à la suite d'une fausse manœuvre, le contenu du disque se trouve détérioré, une panoplie de disquettes permet de reconstruire les informations perdues.

Mais comme le moniteur fabriqué par Sugar inclut l'alimentation de l'unité centrale, n'envisagez pas d'acheter la couleur plus tara I Si vous la désirez, prenez-là tout de suite.

Le clavier, souple au toucher, paraît quelque peu incapable de résister à une utilisation intensive. Pour contrebalancer cet inconvénient, sa conception le rend très facilement réparable. La souris, enfin, passe pour un produit Microsoft aux yeux MS-Dos.

A ce prix, vive la couleur!

Les quatre configurations avec disque dur proposées par Amstrad s'échelonnent dans une gamme de prix très compétitifs, même si l'on peut trouver moins cher (voir le prix du neuf dans notre page « Coûte que coûte ».

Reste à préparer le chèque pour votre revendeur !

Avec disque dur 10 Mo et un moniteur monochrome : 10 425 F (8 790 F ht) Avec disque dur 10 Mo et un moniteur couleur: 12 676 F (10 690 F ht)

Avec disque dur 20 Mo et un moniteur monochrome : 11 730 F (9 890 F ht) Avec disque dur 20 Mo et un moniteur couleur: 14 102 F (11 890 Fht). N'hésitez pas à opter pour la couleur : pour 1 500 F de différence, vous pourrez même vous payer un bon logiciel de jeu, de temps en temps.

FICHE TECHNIQUE

  • Processeur: 8086
  • Horloge : 8 MHz
  • Mémoire : 512 Ko (— 640 Ko)
  • Carte graphique : CGA
  • Port parallèle : 1
  • Port série : 1
  • Unité de disquette : 1x360 Ko
  • Disque dur: 1x10 ou 20 Mo (vitesse de 20 ms 40 ms)
  • Souris : 1
  • Moniteur: oui (monochrome ou couleur).

LE COUP D'ŒIL

Pour :

  • Configuration complète
  • Prix compétitif
  • Simplicité d'emploi

Contre

  • Clavier peu solide
  • Alimentation dans le moniteur
  • Alimentation juste suffisante pour la version de base.

L'imprimante DMP 4000

La célèbre nouvelle imprimante d'Amstrad doit sa réputation au retard de livraison plus qu'à ses caractéristiques techniques. Quoi de plus normal en effet, lorsqu'il a fallu attendre près de six mois avant d'en obtenir un exemplaire. Avant toute chose, précisons que la DMP 4000 n'a subi un test qu'en compagnie du PC 1512.

Parfaitement emballée, tout comme les autres éléments de la configuration, la DMP 4000 se révèle particulièrement légère. Seule sa taille importante laisse à penser qu'il ne s'agit pas d'un gadget. En fait, de par son allure générale, elle rappelle très précisément une autre imprimante du constructeur anglais: la DMP 3000.

Surprenant ? Non, car c'est la version 132 colonnes de son aînée.

Le câble de connexion, grâcieuse-ment fourni, permet de relier la DMP 4 000 à la sortie parallèle du PC. Dès ce branchement réalisé, ainsi que celui du cordon secteur, nous attaquons derechef la bête en force. Rien ae tel que quelques pages graphiques pour se mettre en forme, sous Gem Paint, à partir du PC 1512, nous envoyons en rafale quelques images offertes en démonstration.

La sortie d'une image prend près de trois minutes et provoque l'hilarité dans la rédaction: le bruit de l'imprimante est assez important. La carrosserie en plastique entre en résonnance avec la tête d'impression (9 aiguilles) et vibre. Mais elle résiste vaillamment.

Et le texte alors ?

Comme nous aimons les choses bien faites, nous n'en sommes pas restés à cette première impression (c'est le cas de le dire). Notre classique petit test pour imprimantes à aiguilles a révélé des qualités insoupçonnées sous ses dehors austères.

Rapide, la DMP 4000 dégorge les cinq lignes de quatre-vingt caractères et les quatre-vingts lignes d'un caractère en moins de 18 secondes. Certes, la qualité d'impression des caractères n'atteint pas des sommets, pourtant ils restent parfaitement acceptables pour des listings.

Mais les caractères semi-graphiques ne sont pas reconnus correctement par la DMP 4000. Tous les traits doublés inclus dans le jeu de caractère du PC 1512, se retrouvent simples sur le papier.

Le chariot grande largeur autorise l'impression de 136 colonnes en taille normale, et de plus de 220 en mode compressé : de quoi sortir de magnifiques tableaux à partir de votre feuille de calcul. Différentes options d'impression permettent d'atteindre une bonne qualité des caractères, à condition d'avoir un café à boire avec les collègues.

L'entraînement du papier par friction et par traction (à la sortie au rouleau) permet indifféremment l'emploi de feuilles standard A4 ou de papier listing. La traction en sortie oblige à caler la tête d'impression loin du début de la première page... A moins de la sacrifier au dieu papivore !

Fidèle à la tradition, Alan Sugar s'adresse au plus grand public. La DMP 4000 ne grèvera pas les budgets, même si l'on trouve moins cher dans la concurrence japonaise ou sud-asiatique. Pour 3 990 F, vous entrez en possession d'un matériel diffusé par Amstrad.

Michael Thévenet, PCM3

★ PUBLISHER: Amstrad Consumer Electronics
★ ANNÉE: 1986

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L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent  du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko.